LA MISE EN ŒUVRE DU FONDS FIDUCIAIRE D’URGENCE AU MALI, NIGER ET SÉNÉGAL

La Cimade et le collectif Loujna-Tounkaranké publie une note d’analyse : La mise en œuvre du Fonds fiduciaire d’urgence pour l’Afrique au Mali, Niger et Sénégal : outil de développement ou de contrôle des migrations ?

Cette note  d’analyse actualise le rapport conjoint « Chronique d’un chantage », publié  en 2017 avec le collectif Loujna-Tounkaranké et le réseau euro-africain Migreurop,  qui dénonçait l’utilisation politique du FFU.

Le fonds fiduciaire d’urgence en faveur  de la stabilité et de la lutte contre  les causes profondes de la migration irrégulière et du phénomène des personnes déplacées en Afrique (FFU)  de l’Union européenne (UE) a été  créé lors du Sommet UE-Afrique sur  les migrations de la Valette (Malte)  en 2015 en réaction à l’augmentation  des arrivées de personnes migrantes sur  les côtes européennes.

Les informations ont  été collectées et des entretiens menés  avec des acteurs de mise en œuvre  dans ces trois pays.

La Cimade, l’Association malienne des expulsés (AME), Alternative espaces citoyens Niger (AEC) et le Réseau migration et développement du Sénégal (REMIDEV) travaillent depuis de nombreuses années  sur la coopération UE-Afrique en matière migratoire et ont choisi les projets en fonction de la pertinence des thématiques et des données disponibles. Certains projets ont dû être écartés (projets régionaux, projets liés à la coopération policière et militaire) par manque d’accès à l’information.

Télécharger la note d’analyse

Pour aller plus loin:

Analyse détaillé de la mise en œuvre du fonds fiduciaire d’urgence de l’UE au Mali 

Analyse détaillé de la mise en œuvre du fonds fiduciaire d’urgence de l’UE au Niger